« Si on bricolait plus souvent, on n’aurait moins la tête aux bêtises », faisait dire Michel Audiard à Raoul Volfoni dans la mythique scène de la cuisine des Tontons Flingueurs. On se sentirait beaucoup mieux, tenterais-je de montrer dans cette courte chronique.
Bien-être et bricolage … ces deux termes s’associent assez naturellement quand nous nous imaginons trouver, après une rude journée de travail, quelque détente à bricoler ici ou là meubles ou objets divers ; quand nous nous remémorons Gaston Lagaffe (encore lui) détournant un essuie-main pour en faire un confortable hamac dans lequel il rejoint, souriant, les bras de Morphée.
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