Parution du nouvel opus d'Envies de changer
ENVIES DE CHANGER - De la paix économique à l’entreprise florissante
Comment faire confiance au potentiel humain ? Comment bien réaliser ses feedbacks en entreprise ? Comment faire bouger les lignes du management ? Comment faire évoluer son système de rémunération pour satisfaire le plus grand nombre, ce sont quelques-uns des sujets abordés dans le numéro de Envies de changer #2, la publication produite par la communauté de pratiques de la chaire.
Un constat s’impose : la société est désormais au service d’une économie prônant la performance individuelle et l’hypercompétitivité. Ce modèle prédominant génère souvent du stress et de la souffrance dans le monde du travail. De plus en plus de voix s’élèvent pour replacer l’humain au cœur de l’entreprise. A l’instar des entreprises qui se réunissent avec des chercheurs et enseignants de la chaire plusieurs fois par an au sein de la communauté de pratiques. Objectif : partager des réflexions et des pratiques pour trouver une alternative au modèle existant. De ces études de cas, analyses et partages de pratiques… est venu l’idée de réaliser une publication pour que chacun puisse bénéficier du fruit de ces échanges. Un premier numéro disponible sur ce site montrait les premiers pas pour faire évoluer les attitudes au travail. Ce deuxième opus porte d’avantage sur les pratiques des entreprises et enseignements de chercheurs pour co-construire une économie pacifiée et performante.
La revue est en téléchargement libre.
Envies de changer #2 - De la paix économique à l'entreprise florissante [PDF]
Envies de changer #1 - Faire évoluer les attitudes au travail, premiers pas [PDF]
Des jalons fondateurs pour l’entreprise
Pourquoi ? Parce que la collaboration reste le terreau de la co-innovation, elle-même vectrice de gains de valeurs pour les entreprises. Le premier ressort consiste donc à développer les « appétences » de l’entreprise, par une prise de conscience de la valeur qui sera induite par une collaboration vertueuse entre clients et fournisseurs. Autre prérequis : la mise en œuvre de compétences individuelles et collectives, organisationnelles et inter-organisationnelles, favorisant les relations collaboratives. Troisième point, essentiel : la mise en place de nouveaux outils de pilotage de la performance, qui ne seraient plus strictement fondés sur les « savings » et les « gains sur achats ». Ainsi, pour entrer dans une spirale vertueuse, ces critères devraient être assortis d’une perception élargie des gains de valeur, tel que le taux de survie ou la satisfaction des fournisseurs. C’est ce que nous démontre 
Ces affirmations s’appuient sur des constats récurrents : la sur-sollicitation numérique, parfois nuit et jour, pourrait bien constituer un problème de santé publique. Telle est la mise en garde lancée par 
